Ma thèse sera la suivante : le New Age est issu d’une entreprise d’ingénierie sociale, d’une guerre cognitive faite aux peuples – essentiellement occidentaux- qui aura les effets principaux suivants :
- Un relativisme radical des valeurs
- L’émergence d’une écologie punitive anti-humaine
- L’avènement de l’homme-soja, soit le suicide anthropologique de l’Occident
Une défaite de la pensée qui annonce le wokisme
Pour les besoins d’une conférence sur les nouvelles religions, j’étais invité à plancher sur la question du New Age. Pris par le temps, en bon cancre 2.0, j’interrogeais ChatGPT pour dégrossir le sujet. Voilà une synthèse honnête de ce qui en est ressorti :
Le New Age est un mouvement spirituel et culturel qui a émergé dans les années 1960 et 1970, principalement en Occident ; il est caractérisé par une approche holistique de la spiritualité, qui intègre des éléments de diverses traditions religieuses et spirituelles, ainsi que des pratiques de développement personnel et de guérison alternative.
Les pratiques le plus souvent associées au New Age sont les suivantes :
- La méditation
- L’astrologie
- Les médecines alternatives
- Le développement personnel : cette approche qui vise à améliorer la compréhension de soi, la croissance personnelle et le bien-être émotionnel prétend répondre à certaines lois dont :
- La pensée positive : spontanément le monde se conforme à notre pensée, notre façon de voir les choses
- La croissance personnelle : Une approche du développement personnel qui se concentre sur la découverte de soi, la conscience de soi et l’amélioration de soi.
- La programmation neurolinguistique (PNL) : Une approche psychologique qui utilise le langage et d’autres expériences sensorielles pour modifier le comportement et les pensées.
- La spiritualité
- La numérologie
- Les cristaux
- Le chamanisme : une pratique qui vise à établir une connexion avec les esprits et les énergies de la nature pour guérir et améliorer le bien-être.
- La thérapie énergétique : une catégorie qui comprend une variété de pratiques basées sur l’utilisation de l’énergie, comme le reiki, la guérison pranique, la guérison spirituelle, etc.
Le New Age, c’est la tranche napolitaine, on y trouve de tout. Il se présente à la fois comme une pseudo-religion ET une pseudo-science.
Ses adeptes semblent embarqués dans un voyage sans retour autour de leur nombril tout en adoptant une curieuse « approche holistique de la spiritualité ».
En sciences humaines, l’approche holistique est une tarte à la crème postulant l’interdépendance des partis interconnectées des systèmes complexes ; elle a à voir avec la cybernétique dans la mesure où les deux approches interrogent les processus de régulation, de contrôle et de communication au sein d’un système. L’idée assez banale que tout est dans tout a donné naissance à la théorie du « battement d’aile du papillon » ou théorie du chaos. Avec cette théorie du chaos arrivera le Club de Rome et son catastrophisme malthusien et dépopulationniste.
Tout est dans tout, Mère Nature est Une, notre monde est Un et donc il faut être inclusif pour espérer l’améliorer. Le refrain est connu.
En somme, le caractère hyper individualiste et holistique de la démarche New Age détache l’homme de ses signifiants fondamentaux (famille, nation, religion) pour proposer un simulacre d’identité mondialisée à la carte. Syncrétisme et relativisme radical.
Mais surtout, ce qui caractérise cette « philosophie » New Age, c’est son aversion pour le monde réel : on se sent en terre cathare.
C’est de ce constat que doit partir notre questionnement car pour l’occidental dépressif comme pour le pouvoir profond – le pouvoir déteste avoir à régler des problèmes réels ; il préfère de loin créer des problèmes artificiels qu’il contrôle – , le réel est problématique parce qu’il est ce qui ne se contrôle pas ; l’un comme l’autre doivent donc concevoir un dispositif de trucage reposant sur un subtil « management » des perceptions. Nous sentons ici poindre les délires de l’auto-identification, de la théorie des genres et de la cancel culture. Une ingénierie sociale est passée par là qui nous impose déréalisation et bien-pensance totalitaire.
Le New Age serait-il la matrice de la défaite de la pensée en occident ? la matrice de notre mode de vie hallucinatoire sous wokisme et cancel culture ?
La tyrannie d’un monde gentil et idiot
Le cerveau réel est très politiquement incorrect et pas du tout holistique : il discrimine, hiérarchise et créé les stéréotypes indispensables au fonctionnement d’une pensée rationnelle.
Déconstruire savoirs et stéréotypes, réprimer les tendances spontanées à la hiérarchisation et à la discrimination est un travail de longue haleine dont nous observons aujourd’hui les résultats : sur deux ou trois générations, une ingénierie du consensus a imposé en Occident une culture de masse hors sol adossée à l’exaltation permanente de la médiocrité.
Puisque l’unité du monde va de pair avec l’accomplissement personnel, l’esprit critique – source de conflits – et le passé collectif – héritage des clans, guerres et révolutions – chargés de négativité, doivent s’effacer. Une conscience planétarienne chargée de positivité morale sera implantée de gré (adhésion à la « pensée » New Age) ou de force (programmes de mind control).
Cette conspiration anti-humaine a pris les apparences (la furtivité est importante) d’une cool attitude très « West coast ».
Il faut se méfier du gentil geek californien autant que de son entreprise branchée inclusive et compassionnelle : le slogan de Google est « Don’t be evil » ne viserait-il pas aussi à nous faire oublier que son véritable business model est l’espionnage à but lucratif[1] ? Ou encore son projet de créer l’intelligence artificielle qui dirigera le monde conformément à son universalisme moral[2] ?
Hélas, l’assaut contre le monde réel et l’esclavage numérique s’articulent naturellement dès l’origine de la contre-culture californienne.
Timothy Leary, gourou hippie, toxicomane et grand voyageur astral devant l’éternel déclarait encore en 1992 : « Ce qui est réel est ce que vos neurones traitent. Et les hallucinations sont tout aussi réelles que n’importe quoi à l’extérieur … Ce n’est pas un hasard si les personnes qui ont popularisé l’ordinateur personnel étaient Steve Jobs et Steve Wozniak, tous deux pieds nus, cheveux longs et sous acide. Ce n’est pas un hasard si la plupart des personnes travaillant dans l’industrie des logiciels informatiques ont eu des expériences psychédéliques très réfléchies, très rentables et créatives. Bill Gates, selon la rumeur, était un partisan très actif des psychédéliques quand il était à Harvard ». Le même Timothy Leary a également remercié la CIA pour avoir fabriqué la contre-culture et le « mouvement de la conscience » dans les années 60 en encourageant les jeunes psychiatres et les étudiants à consommer du LSD.
La cybernétique[3] et les drogues sont de fait instrumentalisés depuis maintenant près d’un siècle pour briser les attitudes et comportements qui rendent possible la désobéissance.
Le New Age, improbable brouet de philosophie orientale, de psychologie humaniste et de doctrine existentialiste, est aussi un rejeton de la cybernétique qui vise à comprendre comment les systèmes (vivants et artificiels) traitent l’information et utilisent le retour d’information (feedback) pour infléchir leur comportement.
Développée dans le contexte de la seconde guerre mondiale, la cybernétique ouvre la porte aux perceptions altérées du monde réel aptes à créer une fausse réalité déconstruisant anciens équilibres et valeurs. Le monde ainsi liquidé au sens de Zygmunt Bauman[4] pourra dès lors être réécrit. Déconstruit et spirituellement illuminé, l’homme évoluera enfin dans l’environnement contrôlé du « Meilleur des mondes » cher à Aldous Huxley, partisan enthousiaste du LSD et d’une « dictature sans larmes[5] ».
L’absorption de substances chimiques peut en effet puissamment contribuer à l’éveil de la « transcendance de soi » !
[1] Google, arme de déconstruction massive. Thodinor, février 2019 : https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/google-arme-de-deconstruction-212835
[2] Ibid
[3] Science de la communication et du contrôle dans les machines et les organismes vivants
[4] Zygmunt Bauman appelle société liquide un monde de purs consommateurs déracinés et dépourvus de toute forme de lien social pérenne
[5] « Il y aura dès la prochaine génération une méthode pharmaceutique pour faire aimer aux gens leur propre servitude, et créer une dictature sans larmes, pour ainsi dire, en faisant des camps de concentration sans douleur pour des sociétés entières, de sorte que les gens seront privés de leurs libertés, mais ressentiront plutôt du plaisir. »
– Aldous Huxley, discours prononcé en 1961 à l’école de médecine de Californie à San Francisco
Lucy in the Sky with Diamonds
Les élites britanniques sont spontanément mondialistes, eugénistes[1], très portées sur le contrôle social. Or, la contre-culture, née dans les années 60, est une méthode de contrôle social comme une autre, même si elle donne à ce contrôle un caractère furtif en prétendant à la bonté universelle.
Les auteurs dystopiques de la littérature anglaise expriment en réalité les désirs cachés de cette élite à travers des œuvres qui relèvent moins des fantaisies de la science-fiction que d’un véritable programme politique – celui qui se déroule effectivement sous nos yeux.
HG Wells, grand-père spirituel de « l’ère du verseau[2] », membre de la Fabian Society, eugéniste et auteur de « La conspiration au grand jour. Plan pour une Révolution mondiale » – ouvrage précurseur du mondialisme – a littéralement biberonné les frères Huxley (Aldous et Julian) à Oxford.
Aldous Huxley sera le professeur de français d’un certain George Orwell – fils d’un fonctionnaire de l’administration des Indes chargé de la Régie de l’opium. ! – à Eton…
A la politique de la botte sur le visage qu’entrevoyait Orwell, Aldous Huxley opposait l’idée que « l’oligarchie au pouvoir trouvera des moyens moins pénibles et moins coûteux de gouverner et de satisfaire sa soif de pouvoir. »
A la fin des années 30, Aldous Huxley part pour les Etats-Unis où il recrute un groupe d’illuminés initiés des cultes d’Isis[3]. Il est alors scénariste pour la MGM, Disney et la Warner Bros.
De mauvaises langues prétendent qu’il aurait noué à Harvard des liens avec le président du groupe pharmaceutique Sandoz, bientôt commissionné par la CIA pour produire des centaines de millions de doses de LSD que ce soit dans les années 50 pour les besoins de son programme MK Ultra[4] (une version méchamment hard du New Age) ou pour son expérimentation de Pont-Saint-Esprit[5]. Cette drogue synthétique sera également généreusement distribuée à l’occasion des trois jours de crasse et de LSD du festival de Woodstock dont la sécurité sera assurée par la communauté hippie de la « Hog Farm » elle-même très portée sur l’exploration des paradis artificiels !
En 1954, Huxley publiera « Les portes de la perception », véritable manuel psychédélique, apologie des drogues et de leur utilisation dans le domaine du contrôle social.
L’interdiction officielle du LSD attendra le mois d’octobre 1966. D’ici là, les psychiatres de Beverly Hills auront eu toute latitude pour initier leurs clients acteurs, scénaristes et réalisateurs d’Hollywood (de Cary Grant à Stanley Kubrick) à « l’illumination spirituelle ».
Popularisée par les Beatles[6] qui assureront la promotion du LSD (Lucy in the Sky with Diamonds), la place des drogues deviendra centrale dans les années soixante, âge d’or de la contre-culture et du New Age. Cette contre-culture servira d’aimable paravent à ce que le philosophe Michel Clouscard nommera le « Capitalisme de la séduction[7] ». Arme du soft power anglo-saxon, elle contribuera à la destruction du rideau de fer et sert aujourd’hui encore de caution intellectuelle au projet globaliste de Grande réinitialisation. Si l’ultima ratio du projet de domination globaliste est bien aujourd’hui l’armée américaine, c’est dans les cornues des spécialistes britanniques de la guerre cognitive qu’il faut trouver les origines de cette philosophie du chaos.
[1] La langue du prince Philip n’a pas fourché quand il a déclaré en 1988 à la DPA (Deutsche Press Agentur) que « Dans le cas où je serais réincarné, je voudrais que cela soit en virus mortel, pour aider à résoudre le problème de la surpopulation. »
[2] L’ère New Age par excellence, temps des communautés spirituelles fraternelles, de la religion mondiale et du gouvernement universel
[3] Cultes chers aux loges initiatiques de la franc-maçonnerie et autres satanistes inspirés par le mage Alistair Crowley et la sorcière théosophique Blavatsky
[4] https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_MK-Ultra
[5] Cf l’article « 1951 : trip sous acide à Pont-Saint-Esprit »
. Le Point du 09/07/2012 https://www.lepoint.fr/culture/1951-trip-sous-acide-a-pont-saint-esprit-09-07-2012-1482979_3.php
[6] Sur la couverture de l’album « Sergent pepper lonely hearts club band », les Beatles rendront hommage à leurs amis. Parmi eux : Alistair Crowley, HG Wells, Aldous Huxley.
[7] Le Capitalisme de la séduction : critique de la social-démocratie libertaire. Michel Clouscard, 1981 Messidor-Éditions sociales
L’axe Tavistock – Macy – Esalen
Membre éminent de la Fabian Society, le « pacifiste » HG Wells était un agent de Wellington House. Ce fameux bureau de propagande du Foreign office britannique fût à l’origine des campagnes visant à manipuler l’opinion publique britannique en faveur de la guerre contre l’Allemagne en 1914 puis à pousser les Etats-Unis à intervenir dans le conflit.
Le service après-vente de Wellington house sera la clinique Tavistock créée en 1920 par le département de l’armée britannique spécialisée dans l’analyse des traumas subis par les soldats au retour des combats. Ces études ne resteront pas lettre morte puisqu’elles fourniront la base des techniques de reprogrammation cognitive.
En 1946, au lendemain de la seconde guerre mondiale, l’Institut Tavistock est créé mais son existence ne sera révélée qu’en 1969 par John Coleman, un ancien agent du MI6.
Basé à Londres, l’Institut Tavistock participera à de nombreuses recherches dans le domaine de la psychologie sociale, ses travaux portant notamment sur la dynamique de groupe, la gestion du changement dans les organisations et sur les aspects psychologiques sociaux du bien-être[1]. Surtout, l’Institut Tavistock sera, avec sa succursale allemande de l’Ecole de Francfort, à l’initiative des conférences Macy.
Il s’agit de plusieurs cycles de réunions organisées à New York entre 1946 et 1953. Elles rassemblèrent scientifiques, philosophes et experts en santé mentale avec un mot d’ordre : détruire la matrice autoritaire (ie les structures comportementales) de l’homme ancien (attaché aux grands signifiants traditionnels) pour créer l’homme nouveau anti-autoritaire adapté à la société liquide et post-nationale voulue par le projet du nouvel ordre mondial.
Les Conférences Macy ont joué un rôle central dans le développement de la cybernétique et de l’ingénierie sociale. Elles ont notamment élaboré l’« échelle F » (F pour fascisme) qui au travers d’enquêtes d’opinion à grande échelle visait à détecter les tendances cachées (notamment antisémites) de la personnalité. Cette « échelle F » forme la base des tests de recrutement. Le nudging fonctionne mieux sur un cerveau bien nettoyé !
Dans les années 70, des rencontres entre artistes engagés dans la contre-culture (les influenceurs de l’époque) et participants des conférences Macy seront organisées au sein du centre éducatif ésotérique d’Esalen (Big Sur, Californie).
A l’origine du mouvement du potentiel humain, Esalen fondera ses programmes de thérapie et de développement personnel sur un usage massif et délibéré du LSD.
La rencontre de la cybernétique tavistokienne et du mouvement du potentiel humain a été explosive : la cybernétique s’est démilitarisée pour infuser dans le monde du spectacle et de la bohème chic avant de monter à l’assaut des sociétés occidentales.
Le New Age sera exactement cela : une nouvelle spiritualité individualiste et holistique à la fois, une vulgate hallucinée issue de l’ingénierie sociale théorisée dans les conférences Macy.
L’homme national est détrôné par l’homme globalisé, mais celui-ci n’est encore qu’un artefact provisoire puisque le transhumanisme qui pointe en fera très vite un objet connecté programmable dont la vie sera réduite à sa contribution au big data.
[1]Clients récents de l’Institut : USAID, Bechtel, Microsoft, Disney, Raytheon, German Marshall Fund, FMI, Banque Mondiale,…
Davos c’est Woodstock plus la cravate !
Grand prêtre de l’ingénierie comportementale, Klaus Schwab annonce la couleur : « Ce à quoi la quatrième révolution industrielle va conduire, c’est à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique [1]»
Cela s’entend, il s’agit de bâtir un monde meilleur : « Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur : plus inclusif, plus équitable et plus respectueux de Mère Nature. [2]»
Science, culture et politique pourront être contrôlés et dirigés par l’intelligence artificielle. L’homme nouveau « déconstruit », et anti-autoritaire sera dépouillé, extatique et en communion holistique avec Mère Nature.
Le souci de Mère Nature émerge également au cœur des années 70 dans le monde feutré des organisations internationales, mais il faudra attendre la chute de l’URSS pour que les préconisations malthusiennes et décroissantes du Club de Rome accèdent au rang d’impératif catégorique.
L’autoritaire URSS était imperméable à la lèpre nihiliste occidentale et la seule existence de son modèle alternatif imposait aux élites de fournir un picotin d’avoine et du Club Med au bétail d’occident.
L’extension des domaines de la déconstruction et de la décroissance pour les masses est remise à plus tard, le poison du wokisme restera pour un temps cantonné aux niches de la puberté et du milieu culturo-mondain.
D’autant que la guerre froide mobilisait les énergies et les finances. Les organisations internationales issues de la seconde guerre mondiale ne s’occupaient encore du développement durable que sur un mode incantatoire.
Le décor changera avec la disparition de l’URSS, puisque la fin présumée de l’histoire [3] menace ces organisations de devenir hors sujet (« irrelevant » comme disent les anglais) et donc sans budget ; il fallait trouver de nouveaux projets de salut universel pour continuer à traire les contribuables des pays développés.
Ce sera fait dès 1992 avec l’Agenda 21 des Nations Unies sous les auspices d’un certain Maurice Strong, pape corrompu de l’élite mondialiste.
L’Agenda 21 est la bible du culte New Age au sein des organisations internationales.
Il promeut un plan d’action global à mettre en œuvre aux niveaux mondial, national et local par les organisations du système des Nations Unies, les gouvernements et les grands groupes dans tous les domaines où l’homme a un impact sur l’environnement. Sous couvert de développement durable et de biodiversité, il préconise l’extinction de la propriété privée (non durable), la spoliation des agriculteurs et éleveurs par un contrôle centralisé de l’agriculture mondiale, le contrôle oligarchique des sources d’eau et, bien sûr de la production et de la distribution alimentaire.
Extinction de la souveraineté alimentaire, rééducation familiale, politique de repeuplement en communautés urbaines, limitation des déplacements, abolition des véhicules individuels et dépopulation mondiale sont au programme de ce brûlot de haine antihumaine.
Ainsi seront scellées les noces de sang du nomade Attali (la France est un hôtel) et de la folle Thunberg. Management postnational et culte de Gaïa.
Puisque le réel n’est pas un sujet, l’asile occidental s’offira une myriade de problèmes insurmontables à régler d’urgence : trou dans la couche d’ozone, nouvelles pestes noires, climat, injustice, racisme, haine, etc.
Le tout en finançant rubis sur l’ongle une effarante technostructure d’administrations internationales, d’ONG, d’experts, de gourous du management et autres bienfaiteurs œuvrant pour un monde meilleur, plus juste et plus inclusif.
[1] Chicago Council on Global Affairs. Novembre 2020
[2] Covid 19, la Grande Réinitialisation, 2020
[3]Cf l’ouvrage de Francis Fukuyama
Le New Age a mis le piratage neuronal au cœur de la question sociale. Il est à craindre qu’il ne soit qu’une étape d’un scénario eugéniste qui prend forme sous nos yeux.
Sous couvert de libération, le New Age aura bien dressé l’homme-soja !
Next step : la décimation du monde ?
Voilà une analyse pleine de bon sens et d’acuité, merci à son auteur de nous ouvrir là les yeux pour mieux nous mettre en garde sur ce fléau qui a détruit nos sociétés avec ce poison si doux et si pernicieux.