L’air est pur, loin de Moscou et des regards maussades de ceux qui s’enferment pour des mois dans une lutte existentielle avec l’hiver. Assis à l’arrière d’une berline noire, nous roulons à travers les hauts bouleaux de l’oblast de Vladimir vers l’utopie que personne n’a demandée mais à laquelle tout le monde semble avoir succombé….