Convaincu qu’un homme qui ne boit pas déplaît à Dieu, c’est sous le patronage de cette élégante façon russe de conjurer la gueule de bois par l’ivresse que nous plaçons ce blog.
Puisse cet art de vivre, infusé dans le paysage parisien par l’ami Vladimir Tchernine, éloigner les pisse-froid de la correction politique.